Même ceux qui défendent Loukachenko se moquent de lui
8 décembre 2020 | BYHelp-Mediagroup
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Des images transmises par des caméras des forces de sécurité indiquent que même ceux qui sont censés protéger Loukachenko se moquent de lui. Dans le même temps, Loukachenko tente en vain de faire peur au Kremlin en disant que l’OTAN se tient aux portes du Bélarus et veut prendre le contrôle du pays. Le dictateur cherche à intimider au maximum son peuple : lors de la marche des retraités, des arrestations ont eu lieu, des gens ont été aspergés de gaz lacrymogène, et même des prêtres sont arrêtés pour leur prise de position politique. Mais les Bélarussiens continuent de manifester. Leur protestation prennent des formes très diverses : des publications de vidéos sur les réseaux sociaux, des marches dans des quartiers qui n’ont plus lieu que le dimanche, mais aussi en semaine. « Je sors » – ces dernières paroles de Raman Bandarenka, victime du régime, sont devenues un nouveau symbole de la lutte des Bélarussiens pour leur avenir.